Alors que les aidants qui sont en activité doivent jongler entre leurs obligations personnelles et professionnelles, les entreprises se saisissent de plus en plus de cette problématique pour prévenir l’absentéisme et l’épuisement de leurs salariés. Le Code du travail prévoit pour ces derniers trois types de congé non rémunéré :
• le congé de solidarité familiale, qui permet au salarié d’assister un proche en fin de vie (trois mois maximum, renouvelable une fois) ;
• le congé de présence parentale, qui libère du temps pour se consacrer à un enfant handicapé (310 jours ouvrés maximum sur une période de trois ans) ;
• le congé de proche aidant, destiné à ceux qui accompagnent une personne souffrant d’une importante perte d’autonomie (trois mois, renouvelable dans
la limite d’un an sur l’ensemble de la carrière).
Pour plus d’infos : Service-public.fr, rubrique « Travail ».
Salariés : des congés pour aider un proche
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