« Quand on fait partie de la famille de la personne dépressive, le problème, c’est que l’on ne sait rien, témoigne Martine, dont l’époux souffre de dépression. Souvent, pour préserver la thérapie, les psys ne veulent pas nous rencontrer. Alors on est perdu, on ne sait pas comment s’y prendre pour aider, on a peur de mal faire. » Dans ce cas, les associations de patients peuvent être d’un grand soutien. A France Dépression, Martine a appris comment soutenir son mari. « Secouer la personne, ça ne sert à rien, mis à part la faire culpabiliser davantage, ajoute-t-elle. Il faut juste lui rappeler que l’on est là, qu’on l’aime et lui suggérer des sorties pour maintenir la vie sociale. » Ce soutien suppose aussi le respect d’une bonne distance, une présence bienveillante mais pas étouffante, de l’écoute et, surtout, beaucoup de patience.
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